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Noël Tshiani serait-il un antisémite ?

Jusqu’à ce jour, la participation juive à la vie nationale n’avait jamais été un problème pour le congolais. L’actualité politique du Congo (Rdc) des dernières années ne fait que confirmer un engouement massif pour un zozo dont la haine raciste absolue n’est un mystère (à peine un secret de famille) pour personne… Et pourtant ! La célébration perpétuelle du  » zozo  » , est un des symptômes culturels les plus forts de la banalité séculaire du racisme et de l’importance toujours occultée de  » l’héritage ramené des milieux « Farakhanistes » depuis les Etats Unis ». Noël Tshiani, un raciste exceptionnel entend bien gâcher la fête ! Il prouve son implication dans le racisme le plus fanatique à couvrir ces faits intolérables dans le microcosme des siens. Les premiers Juifs arrivent au Congo du temps de la colonisation belge, au tout début du XXe siècle. C’est en 1922 que les Juifs de Rhodes(alors colonie italienne) émigrèrent dans le but d’améliorer leur vie et celle de leurs familles dont les ancêtres de Katumbi. Beaucoup d’entre eux vont participer à la construction du réseau ferroviaire katangais. Ils se consacrent au commerce et créent également des usines de textile et des minoteries, et ont joué un rôle important dans le développement économique du Congo. Et si l’actuelle vague du tribalisme n’était pas aussi nouvelle qu’elle en a l’air ? Et si, aujourd’hui, derrière la nouveauté des acteurs de la haine , se jouait une histoire plus ancienne continuant à produire indirectement ses effets ?
Si tel était le cas, le conflit tribal, cause spontanément invoquée pour expliquer
le caractère inédit de la crise actuelle, pourrait bien se révéler, sinon un prétexte,
du moins un simple déclencheur. Loin d’être devenu, comme on le croit, un pur produit d’exportation, le ver raciste ne se dissimule-t-il pas toujours au cœur de la société congolaise et des malentendus engendrés par l’universalisme congolais ?
En RDC, une proposition de loi controversée sur la nationalité des candidats à l’élection présidentielle. Le projet exclurait tout candidat ayant un parent étranger, dont Moïse Katumbi, ancien gouverneur du Katanga, né d’une mère congolaise et d’un père grec.
la Monusco et les États-Unis disent non à la congolité : La communauté internationale n’a pas la mémoire courte, peut-on lire dans le journal qui explique : « Elle sait que, par le passé, le débat clivant sur la nationalité avait fait d’énormes dégâts en Côte d’Ivoire. Alors que ce fléau re-germe dangereusement en République Démocratique du Congo

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