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L’incendie de la cathédrale et l’utilisation de Canadairs.

Lundi soir, un incendie ravage la cathédrale de Notre-Dame de Paris. Depuis plusieurs heures, les flammes se propagent dans le monument parisien, sans que les pompiers ne parviennent à maîtriser l’incendie.
Sur Twitter, Donald Trump a suggéré de lutter contre les flammes par voie aérienne. « Peut-être que des avions largueurs d’eau pourraient être utilisés pour éteindre (l’incendie). Il faut agir vite! », a partagé le président américain ce lundi soir. Sur le réseau social, d’autres comptes allaient dans le même sens et s’interroge sur une possibilité aérienne pour lutter contre le feu.
« Techniquement inadaptés »
Mais l’opération n’est pas si simple. Le ministère de l’Intérieur écarte totalement cette hypothèse. La place Beauvau expliquait que l’utilisation de Canadairs abîmerait le monument et représenterait un danger pour les gens autour du monument. Un cas bien différent des incendies qui peuvent avoir lieu en pleine nature, dans la forêt, où les habitations sont plus rares.
La Direction générale de la Sécurité civile va dans le même sens et pointait le risque d’effondrement du bâtiment. En effet, la pression exercée par l’eau pourrait contribuer à mettre à terre un monument fragilisé par les flammes.

1 Comment
  1. Les dégâts causés par un largage d’eau par Canadair seraient trop importants. La solution aérienne serait le largage d’eau par hélicoptère et encore en quantité réduite et progressive mais ce genre d’appareils n’est stationné que dans le Sud de la France et il faudrait au moins trois heures pour les faire venir jusqu’à Paris et donc trop tard. Le TGV roulant à 300 kmh met déjà plus de 3 heures de Paris à Marseille.

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