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Édouard Philippe, Christophe Castaner et le rattrapage du temps

Si Édouard Philippe et Christophe Castaner étaient successivement premier ministre et ministre de l’intérieur à l’époque, il n y aurait pas eu la vague d’attentats djihadistes en France en 2015. La narration du passé implique la mémoire, et la prévision du futur implique l’attente or, se souvenir c’est avoir une image du passé, et cette image est une empreinte laissée par les événements qui restent fixés dans notre esprit.
Selon E.Durkheim, remonter le temps est un exercice qui permet d’observer
les évolutions au cours du temps de l’ère la plus reculée à l’instant présent.
Par leur méthode : « déceler, empêcher, priver et intervenir », ils marquent de leur empreinte l’ordre de la succession des perceptions dans l’appréhension qui est
donc ici déterminée. Le temps est une  » réalité  » subjective, qui définit notre condition humaine. Mais il n’est pas subjectif au sens de propre à chaque individu. Mais il est subjectif au sens  de  » propre à l’être humain  » et au rapport qu’entretient l’homme avec autrui. Il n’est donc ni simple cours objectif des choses, ni simple forme subjective.
Comme le temps est dilaté par la vitesse, il s’écoule uniformément, du passé au présent bien qu’il soit pourtant réversible. Les drames sont une certaine prise de conscience du temps, une certaine manière de diviser le changement et de le penser. Le rappel de drames ne se conçoit pas sans chronologie, donc, sans perception du temps
Leur stratégie est de renforcer la résilience nationale, qui explique notre approche nationale en matière. Cette stratégie complète oriente nos efforts afin de leur permettre de mieux concerter leurs efforts sur la lutte contre les démons de la division.

 

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