Le discographe Henry Sapoznik retrace le record de l’artiste international de langue yiddish Thomas LaRue et se glisse dans un terrier de lapin de l’histoire des Juifs Noirs
Au début des années 1920, des publicités dans les journaux pour la superproduction de la scène yiddish de New York montrent Dos Khupe Kleyd (La robe de mariée) et Yente Telebende (Loquacious Battle-Axe),
mettant en vedette un artiste noir parmi les artistes en vedette. C’était Thomas LaRue ,
un chanteur parlant yiddish largement connu dans l’entre-deux-guerres sous le nom de
der schvartzer khazan (The Black Cantor)…(suite) https://www.timesofisrael.com/yiddisher-black-cantors-from-100-years-ago-rediscovered-thanks-to-rare-recording/
Fascinant
Rien de nouveau sous le soleil!
Joëlle, ceci s’appelle « opération pièce contre pièce »